Le 75e anniversaire de la Libération des camps est l'occasion de rappeler l’importance du devoir de mémoire.
C’est une semaine importante qui s’achève. Ces derniers jours, à l’occasion du 75e anniversaire de la libération des camps nazis, j’ai eu l’occasion de rappeler à plusieurs reprises l’importance du devoir de mémoire concernant la Shoah (en hébreu : שואה, « la catastrophe »). La Shoah est l'extermination systématique par l'Allemagne nazie de six millions de Juifs, soit les deux tiers des Juifs d'Europe et environ 40 % des Juifs du monde, durant la Seconde Guerre mondiale.
Dimanche soir à Bruxelles lors de la déclaration ministérielle IHRA 2020 et ce jeudi à Jérusalem, 40 dirigeants et représentants du monde entier, dont la Belgique, ont pu exprimer l’importance de cultiver la mémoire des victimes de la barbarie nazie.
Le devoir de mémoire est une expression qui désigne l'obligation morale de se souvenir d'un événement historique tragique et de ses victimes, afin de faire en sorte qu'un événement de ce type ne se reproduise pas.
La Belgique est évidemment pleinement à côté de ceux qui permettent à cette mémoire de ne pas s’effacer. Il est en effet essentiel que nous nous sentions tous concernés par cet événement dramatique et inhumain.
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